Comme la majorité des entreprises évoluant dans son domaine, Google n’est pas encore parvenu à construire un véritable ordinateur quantique universel puissant. Cependant, il ya des chercheurs qui sont certainement capables de prouver qu’un simple calculateur quantique est capable de surpasser un ordinateur superpuissant concernant certains difficultés précises.
Parmi ces chercheurs vous avez Richard Feynman qui fut le premier à réaliser au cours des années 80 qu’on pouvait profiter des lois de la mécanique quantique pour simuler et mieux saisir les systèmes quantiques.
Il parait que dans le secteur de la chimie quantique et la physique du solide qu’on est borné par le volume de calculs indispensables pour faire une simulation avec des ordinateurs simples.
Sauf que d’après le physicien il est possible de créer des calculateurs ou encore des outils de simulation quantiques pour passer outre cette difficulté. Pour ce faire, il faut se servir des qubits et bâtir des entrées quantiques qui travaillent sur ces qubits.
Une logique qui suit une explication de Claude Aslangul qui indique que le fait d’utiliser l’accumulation quantique et le fait d’intrication quantique donnent la possibilité de réaliser plusieurs calculs semblable.
Il faut dire que le fait de faire de la recherche à partir des ordinateurs quantiques, généralement appelée calculs quantiques est une pratique qui a pris de l’ampleur depuis plusieurs années comme l’indique Scott Aaronson, dans son ouvrage Quantum Computing since Democritus. Pourtant, la presse n’arrive pas encore à bien expliquer ce qu’un ordinateur ou un des calculateurs quantiques peuvent faire.
En fait, un ordinateur quantique comme la majorité des ordinateurs peut être programmé pour lancer n’importe quel algorithme quantique. Or un calculateur quantique ne peut que lancer un seul algorithme ou une série d’algorithme. Il n’est pas possible de le programmer pour qu’il exécute plusieurs tâches.
Mais ce n’est pas parce qu’il existe des algorithmes quantiques capables de battre un ordinateur normal, grâce au nombre élevé de qubits, qu’on peut dire qu’un ordinateur est plus puissant qu’un ordinateur classique.
De plus, lorsqu’un algorithme quantique calcule plus vite qu’un ordinateur, il est certainement possible que le second ordinateur puisse prendre le dessus sur le premier ordinateur grâce à un algorithme plus puissant.
Ainsi, on dira que la puissance de certains ordinateurs quantiques peut varier d’un ordinateur à un autre.
Dans ce cas, ne pas oublier l’absence de cohérence quantique, l’effet des perturbations de l’environnement qui occasionne la destruction d’un calcul quantique même s’il fonctionne avec plusieurs qubits.